DocumentNeale Donald Walsch Sur les prédictions- Comment se fait-il que certaines « prédictions » soient fausses ; c'est-à-dire qu'elles ne «se produisent» jamais ?
Dans ce cas le médium n'a pas «prédit
l'avenir», mais s'est contenté d'offrir un aperçu de l'une des «possibles
possibilités» observées dans l'éternel instant du maintenant. C'est toujours
le sujet de la lecture médiumnique qui a fait le choix. II a pu tout
simplement effectuer un autre choix - un choix qui ne s'accordait pas à la
prédiction. - Alors, comment se fait-il que nous n'obtenions pas tout ce que nous demandons au moyen de la prière ? On en a parlé dans le tome 1. Tu n'obtiens pas toujours ce que tu demandes, mais tu reçois toujours ce que tu crées. La création suit la pensée, qui suit la perception. - C'est ahurissant. Même si nous en avons déjà parlé, c'est encore ahurissant. N'est-ce pas ? Voilà pourquoi il est bon de continuer à en parler. Le fait de l'entendre plusieurs fois te donne une chance d'en pénétrer ton esprit. Alors, ton esprit se « désahurit ». - Si tout est en train d'arriver maintenant, qu'est-ce qui dicte de quelle partie de tout cela je suis en train de faire l'expérience dans mon instant «présent» ?
Tes choix - et ta foi en eux. Cette foi sera
créée par tes pensées touchant un sujet en particulier, et ces pensées
proviennent de tes perceptions - c'est-à-dire de « ta façon de voir ». - En somme, je transformerais l'expérience que j'ai déjà faite ! Exactement ! Maintenant, tu comprends. Maintenant, tu comprends comment on vit dans le paradoxe. - Mais si tout cela est « déjà arrivé », à qui est-ce « arrivé » ? Et si je le rectifie, qui est le « moi » qui expérimente ce changement ?
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Plus d'un « toi » circule sur la ligne du
temps. Tout cela était décrit en détail dans le tome 2. Je te suggère de le
relire. Puis, de combiner ce qu'il y a là-dedans avec ce qu'il y a ici, afin
de mieux comprendre. … Lorsque tu regardes profondément quelque chose, tu vois à travers. Contempler profondément quelque chose, c'est voir à travers. Ainsi, l'illusion cesse d'exister. On voit une chose pour ce qu'elle est vraiment. Et c'est alors, seulement, qu'on peut vraiment en jouir - c'est-à-dire y mettre de la joie. («Jouir», c'est rendre une chose joyeuse.) Même l'illusion, tu peux alors en jouir. Car tu sais que c'est une illusion, et c'est la moitié de la jouissance ! Ce qui cause la douleur, c'est le fait que tu crois que c'est réel. Aucune chose n'est douloureuse si tu comprends qu'elle n'est pas réelle. Permets-moi de le répéter. Aucune chose n'est douloureuse si tu comprends qu'elle n'est pas réelle. C'est comme un film, un drame, joué sur la scène de ton esprit. Tu crées la situation et les personnages. Tu écris les répliques. Conversations avec Dieu transmis par Dominique P.
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