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Textes philosophiquesNietzsche joyeusement je fus assis làSi jamais joyeusement je fus assis là où d'antiques dieux gisent ensevelis, bénissant le monde, aimant le monde auprès des mémoriaux de ceux qui jadis ont calomnié le monde ; - - car me sont chères même les églises et les tombeaux des dieux dès que le ciel, au travers de leurs toits brisés, regarde d'un oeil pur; comme l'herbe et le rouge pavot, sur des ruines d'églises j'aime m'asseoir. - oh ! comment de l'éternité n'aurais-je concupiscence, et du nuptial anneau des anneaux, - de l'anneau du retour ? Ainsi parlait Zarathoustra Indications de lecture:Cf.
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