Textes philosophiquesHenri Frédéric Amiel l'espace de la conscience"A mesure que le regard s'étend, que la pénétration s'aiguise, le besoin des formes particulières diminue, et la limite de cette éducation esthétique est de tout voir dans le rien, tous les mouvements dans le repos, toutes les couleurs dans la lumière, tous les accords dans le ton. Donnez moi un mouvement, une teinte, un son particulier, vous me volez tous les autres; le repos, c'est la substance infinie, où toutes les possibilités sont rentrées comme les pigeons au colombier, tous les mouvement dans leur noeud d'équilibre, toutes les couleurs dans le point lumineux, tous les sons dans le point vibrant". Lettre à Charle Heim, 18 avril 1849. Indications de lecture:Texte très proche d' Eckhart Tolle.
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