Questions et réponses sur la leçon:Physique, matière et conscience Sébastien M
R. Très bonne question, c'est la remarque affirmative que poserait le Vedânta. La réponse réside dans l'état de celui qui observe. Si vous êtes dans l'état de rêve, vous êtes le seul créateur du spectacle que vous observez et votre représentation est complètement subjective. Si vous êtes dans l'état de veille, vous l'êtes avec d'autres sujets qui sont dans ce même état et là il y a une objectivité possible dans le consensus d'observation. D'où la notion de "réalité extérieure". En fait les notions d'espace-temps-causalité suppose la conscience. - Superposition d'états : En mécanique quantique, le principe de superposition stipule qu'un même état quantique peut possèder plusieurs valeurs pour une certaine quantité observable.]
Aucune interprétation ne fait aujourd'hui l'unanimité des physiciens. À
ce jour, il s'agit d'un problème encore ouvert.
http://fr.wikipedia.org/wiki/ Pour ma part, je ne peux lier la compréhension de l'expression "superposition d'états" qu'à des concepts tels que :
- La potentialité et l'état du bloc de marbre à contenir toutes les
statues réalisables dans celui-ci.
- La potentialité et l'état de toutes les réponses impliquées par une
question.
- La potentialité et l'état de l'homme non encore né.
Autrement dit, la potentialité et
l'état d'un système quelconque avant toute observation.
- La
décohérence : La
décohérence est la perte de cohérence d'un objet possédant plusieurs
états superposés dans un système à x dimensions, par une observation à
partir d'un système comportant moins de dimensions que le premier.
Je ne sais plus où j'ai trouvé cette définition, mais elle me convient
parfaitement.
- L'intrication
: L'intrication quantique est un phénomène observé en mécanique
quantique dans lequel l'état quantique de deux objets doit être décrit
globalement, sans pouvoir séparer un objet de l'autre, bien qu'ils
puissent être spatialement séparés.
Deux objets définis, en définissent un troisième lorsqu'ils sont en
relation. Un objet peut être en intrication avec lui-même, sinon il
n'existerait pas deux objets définis. Dieu est l'équation universelle
réduite à sa plus simple expression : l'essence.
Michel Fort Vous écrivez aussi en page 9/10, § 5, alinéa 9 : "...si notre science était complète et notre puissance de calculer infinie, nous saurions par avance tout ce qui se passera dans l'univers....". Alors, puisque vous citez Descartes et sa Méthode, pourquoi ne pas en profiter pour évoquer le Maître Leibniz et son meilleur des mondes possibles ? Bien que né en 1646 je trouve que l'inventeur du calcul intégral, avec son Discours de Métaphysique et sa Théodicée s'intègre parfaitement aux connaissances actuelles de la physique et de l'univers !
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Avec la participation de Sébastien M, Pierre Meur.
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